Yokai Gakkou
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Yokai Gakkou

La toute première école japonaise prévue uniquement pour les yokais
 
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 La renarde rusée

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2 participants
AuteurMessage
Holo Hirasawa
Mugibatake no Tannin
Holo Hirasawa


Messages : 37
Date d'inscription : 02/08/2012
Age : 31
Localisation : Dans les entrailles de l'île.

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MessageSujet: La renarde rusée   La renarde rusée EmptyMer 12 Sep - 19:20

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La renarde rusée Nvz8eo

QUI ÊTES-VOUS?
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Nom :

平沢Hirasawa

Prénom :

ホロHolo

Date de Naissance:

21 juillet 1500

âge :

100 ans

Sexe :

Femelle

Orientation sexuelle :

Une renarde rusée comme moi, se doit de garder des choses secrètes.



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IDENTITE
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    Description physique



Je mesure 1m 43, j’ai le pelage roux flamboyant de mon espèce avec juste une tâche blanche sur le bout de ma splendide queue, elle contraste parfaitement avec le rouge profond de mes yeux. Peu d’humains peuvent se targuer de me résister lorsqu’ils se mettent à plonger leur regard dans le mien.

Je passe la plus grande partie de mon temps sous ma forme humaine, même si je garde mes oreilles et ma queue de renarde, elles me sont indispensables, elle fond parties de ma fierté.

Sous cette forme, on me confond facilement avec une jeune fille. Les gens ne se doutent pas que sous cette apparence frêle et chétive se cache la renarde la plus rusée et la plus rapide de tout Yamashiro.

Pour compenser mon manque de force physique et ma petite taille j’ai dû apprendre à me cacher de façon a prendre l’ennemi en embuscade, ou bien d’utiliser mes charmes pour plier les hommes et les bêtes à ma volonté, afin qu’ils s’occupent de ma protection.

Je garde toujours attaché à mon cou un petit sac contenant deux de mes souvenirs les plus précieux.



Spoiler:

    Description mentale




Les gens disent de moi que je suis hautaine et autosuffisante, mais c’est à cause de mon isolement durant une centaine d’années. Malgré mon passé chaotique, j’aspire à trouver quelqu’un à qui je puise faire confiance à nouveau. Je cache cette souffrance passée par des plaisanteries que j’aime faire aux autres.

J’ai une façon assez spéciale de parler, un peu à la manière des courtisanes Oiran.
J’apprécie la nourriture humaine, telle-que le pain cuit au feu de bois, le tofu ou l’alcool, Mais ce d’on je raffole par dessus-tout ce sont les pommes rouge que l’ont trouvait près de mon ancien chez moi.

Je suis très fière de ma queue et je l’entretien constamment avec beaucoup d’application.



Spoiler:




J’ai cumulé une certaine sagesse durant les années où j’ai côtoyé les humains, je l’utilise pour éviter les ennuis, tout en restant dans l’ombre. Mais si un danger, ne me laissant d’autre choix, se présente, je m’en servirai pour préparer une stratégie défensive pour prendre le dessus sur mon adversaire.


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HISTOIRE
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Histoire [20 lignes]




Mon histoire, fait partie de ces vieilles légendes que l’on entend parfois dans les auberges de campagnes, chantée par un ménestrel à demi-ivre quémandant deux, trois piécettes pour survivre.
Je vins au monde sous forme animal, et pas n’importe laquel. Une renarde ! J’ai vécu près de cent ans sans grands soucis, loin de la civilisation humaine.

Je vivais aux abords de grandes fermes, dans une petite parcelle d’arbres que les fermiers environnent n’avaient pas coupé pour leur maisons.  

Je ne m’aventurais que très rarement près de leurs bâtisses, seulement pour y chasser une ou deux poules par les temps de famine, mais à chaque fois je me retrouvais avec les fermiers qui me coursaient pour me donner des coups de râteaux.

Un jour où je me promenais comme à mon habitude dans l’un des grand champs de blés mûrs et doré, je me pris la patte avant dans un de ces vulgaires pièges à loup.

À chaque tentatives de me libérer, j’enfonçais un peu plus les dents de la mâchoire mécanique dans ma chair.
Je restais bloquée là bien toute une nuit, outrée et meurtrie de mètre fait avoir aussi stupidement, en me demandant comment j’allais bien pouvoir me sortir de cette fâcheuse posture.

Je fus réveillée le lendemain à l’aube par des bruits de pas, j’ai tout de suite pensé aux fermiers, qui devaient venir comme chaque matin entretenir leurs terres et en me trouvant là m’aurai surement achevée sans attendre.
À cette instant, je sentis un changement en moi, en effet je venais d’atteindre ma centième années et quand une renarde parvins cette âge, elle ce transforme en Kitsune, Un renard de feu.

Ayant maintenant le pouvoir de me métamorphoser, je pris l’apparence d’une jeune fille pour mieux tromper les fermiers qui arriveraient d’un instant à l’autre.



Spoiler:




Quelle ne fût pas ma surprise lorsque qu’au lieu de voir un fermier furieux, la faux à la main, je vis le visage rond d’un jeune garçon, il devait surement être âgé d’une dizaine d’années à peine.
Nous restâmes là, à nous jauger l’un l’autre du regard.

Pour une raison que j’ignorais, le visage du jeune homme s’empourpra légèrement.
Soudain, il fit un pas vers moi et s’accroupit afin d’examiner mon poignet meurtri. Comme j’avais eu un mouvement de recule dû à sa brusque réaction, il posa une main douce et bienveillante afin que je retrouve mon calme et ainsi me libérer avec le moins de douleur possible.

Loin d’avoir baissé ma garde, je tentais de m’enfuir, mais je n’étais pas encore habituée à mes jambes nouvellement acquises et la douleur lancinante de mon poignet me faisais tourner la tête, et m’empêchait de me tenir debout.
Le jeune garçon me retint de tomber en m’enlaçant de ces bras, et me dit d’un ton affolé que je ne devais en aucun cas bouger afin que je n’empire pas mon état, et que j’avais un besoin urgent de soin.

Sans que j’aie pus, ou même eu le temps de répliquer quelque chose, le garçon me prit sur son dos et traversa le champ afin de me mener à un rebouteux.

Je crois que je commençais à comprendre un peu mieux à quoi étais dû le changement de teinte du visage des humains, car je sentis le mien s’embraser petit-à-petit.

Tout compte fait, les humains sont comme nous. Capables de ressentir des sentiments positifs envers des membres d’autres espèces.

Je finis par me laisser aller au sommeil en enfouissant ma tête dans la douce chaleur de sa chevelure.
Plusieurs mois c’étaient écouler depuis la mésaventure du piège à loup. Je m’étais prise d’affection pour Oshi, et j’avais fini part vivre chez lui.

Ressembler à une humaine était beaucoup moins difficile que ce à quoi je m’étais attendue. Certes, il m’avait fallu apprendre à marcher, à parler, et m’habiller convenablement. Mais passer ces détails, c’étais d’une faciliter ridicule.

Me sentant redevable pour l’aide qu’Oshi m’avais donné, je décidais de mettre à contribution ma connaissance infaillible sur les champs, pour entretenir celui de son père. En moins d’un mois, ces terres étaient devenues magnifique, un vrai régale pour les yeux. Bien sur je fis en sorte que tout le monde pense que ce miracle était du fait d’Oshi.

Un soir, pour me remercier, il me prit à part, il voulait m’offrir un présent pour ce que j’avais fait pour lui et sa famille.
Et dire qu’il y a six mois de cela, rien que le faite de sortir mon museau devant eux, les fessaient rentrés dans une rage folle.

Il approcha un couteau prés de sa belle chevelure, et en coupa une mèche, il la mit à l’intérieur d’un petit sac de tissu qu’il me remit.

Il m’expliquait que si nous devions être séparés l’un de l’autre, j’aurai quelque chose pour me souvenir de lui.
Mon visage s’embrasais, je ne savais pas quoi lui répondre, c’était la première fois pour moi que je recevais un cadeau de quelqu’un.

Voyant mon désarroi, il sourit et approchai son visage du mien, nos lèvres s'effleuraient légèrement.

‘’Mais que fait tu ? ‘’

Lui demandais-je, tout en portant ma main à ma bouche comme pour retenir cette sensation si douce.

‘’Holo… Je t’ai… !’’

Il ne finit jamais sa phrase, car un hurlement horrible nous fit tourner le regard en direction des étables.
Des hommes en armure étaient en train de massacrer la famille d’Oshi. L’un d’entre eux clamait haut et fort, malgré le tumulte du carnage, qu’il représentait la sainte église, que les fermiers avaient pactisés avec le démon et qu’ils allaient en payer les conséquences.

Oshi m’agrippa par la main et m’emmena dans un abri, il m’intima de rester là, et de ne pas y bouger.
Le vacarme retenti encore un moment, puis un silence glacé s’installa dans la noirceur de ma cachette.
Je n’osais pas sortir, mais il le fallait. Le spectacle que je vis était abominable. Les corps brulés des gens avec qui j’avais mangé et rit, jonchaient le sol.

Je ne pus me retenir de régurgiter tout ce que mon estomac contenait, lorsque j’aperçu le corps ensanglanté d’Oshi. Je tombais à genou, je ressentis comme une fracture au niveau de ma poitrine, des larmes ruisselaient abondamment le long de mes joues.

Après avoir enterré Oshi et sa famille de façon décente, je décidais de partir de ce lieu, Oshi m’avais dit un jour qu’il voulait voyager, rencontrer de nouveau lieu,  des endroits que personne d’autre ne connaissais. Je décidais d’honoré sa mémoire en parcourant pour lui tout le japon.

Je passa presque un siècle à aller de village en village.

Apprenant à me mêler aux humains en passant aussi inaperçue que possible.

Au court de ce long voyage je me mis à apprécier certaines des nourritures humaines. Par exemple les pains cuit aux feu de bois, le tofu ou l’alcool, mais je n’ai jamais pus résister à un délicieux cagot garnit de belles pommes rouge.
Lorsque j’arrivais à l’extrême nord de Hokkaido et que j’avais vue tout ce que l’on pouvait voir, je pris le chemin du retour, pour faire partager à Oshi toute les merveilles que j’avais vues.

Lorsque j’arrivais devant l’ancienne ferme devenu un village avec les années, une grandes nostalgie m’envahie, lorsque j’entrai dans le village, tout les passant ce mirent à me fixer du regard, j’avais pourtant bien pris soin, comme toujours de cacher ma queue et mes oreilles, mais il s’emblaient lire en moi comme dans un livre ouvert.

Leurs chuchotements devenaient de plus en plus oppressant, je ferais ce que j’ai à faire, puis je quitterais vite ce village.

Un homme, qui s’emblait être le chef de cette bande de gueux, me barra la route, et d’un mouvement rapide arracha ma capuche, laissant apparaitre mes oreilles au grand jour.

Les habitants virent en moi le monstre que l’église recherchait depuis cent ans pour le meurtre sanglant d’une famille avoisinante.

Je t’entais de m’enfuir, mais les villageois se jetèrent sur moi si vite que je fus submergée sans pouvoir réagir.
Ils me ligotèrent de la tête aux pieds, me condamnant à être châtier par les prêtres locaux.

Sur le chemin de l’église les hommes me rouaient de coups, et les femmes me crachaient au visage. Ils me livrèrent sans aucune pitié aux hommes en charge de s’occuper d’abominations comme moi.

Les prêtres arrachèrent mes vêtements et me jetèrent dans un de leurs cachots humides et nauséabonds. J’avais froid, je tentais de créer un peu de feu pour me réchauffer, mais si je me fesais prendre l’un des gardes venais et me battais violement.

Je fus torturée pendant des jours, mes bourreaux prenant plaisir à me voir hurler de douleur, tout cette souffrance pour que j’avoue des crimes dont je n’étais pas coupable. A chaque refus de ma part, ils recommençaient leurs horribles rites sur moi.

En analysant mes capacités de régénération due à mon sang de Yokai, ils s’amusèrent à me faire de larges entailles sur mon corps et attendaient leurs cicatrisations pour redécouper, encore et encore ma pauvre chair.

Seul le jeune chevalier qui s’occupais de servir mes repas s’emblait avoir de la peine pour ce que je subissais.

Des fois il venait tard dans la nuit pour me donner un peu plus de nourriture et nettoyer les plaies qui avaient du mal à se refermer. Il m’apprit que son nom était Lawrence, et qu’il appartenait à un ordre qui avait pour but de protéger le genre humain des monstres malfaisants. Il ne comprenait pas comment ces gens qui ce disaient prêtres, pouvaient être ces confrères, et comment arrivaient t’ils à me faire subir de telle supplices sans broncher. Il paraissait gentil, mais je ne savais pas si je pouvais lui faire confiance, il fessait partie du groupe d’étrangers qui avaient tué mes amis. Je ne pourrais jamais leurs pardonner ce qu’ils ont fait.

Un jour, les prêtres ne retrouvèrent que des débris en lieu et place de leur instruments démoniaque, c’étais une chance pour moi, mais ils devinèrent bien vite que l’auteur de ca sabotage n’était autre que Lawrence. Il avait voulut me prouver sont amitié sincère en acceptant d’être pour une journée le seul à être puni.

Il reçu des coups de fouet, fut roué de coup et les autres gardes lui brisèrent la main. Pourquoi fallait-il que les personnes me portant de l’affection finisse toujours par souffrir par ma faute.

Il fut bien sur déchu de son rang de chevalier et destituer de ces attributs de guerrier saint, il eu juste le temps de me jeter son anneau de croisé, il préférait me le donner plutôt qu’il soit souiller par les autres membres de l’ordre.

Le lendemain, le bourreau en chef entra dans ma cellule complètement ivre. Sans dire un mot, il m’agrippât par les cheveux et me tira à lui, il posait ces mains sur mon corps nue, me touchant de façon désagréable. Je le suppliais de me laisser tranquille, mais n’ayant plus de force, j’étais complètement à sa merci.

Il me jeta violement au sol, puis m’écarta les jambes de façon à forcer son passage en moi, soudain un grand cri retentis dans les cachots, un morceau de fer sanguinolent sorti de son torse, m’éclaboussant au passage, d’un sang rouge et épais.

C’était Lawrence, qui ne supportant plus mes sanglots et  de mon visage déformé par la tristesse, avait renié son serment envers ses ancien camarades et entreprit de me sauver de cet enfer.

Ne pouvant tenir sur mes jambes par moi-même, Lawrence m’aida, malgré ses blessures, à ramper jusqu'a la porte d’entrée de l’église.

N’étant pas très lourde, nous ne mime pas beaucoup de temps à rejoindre l’entrée du monastère.

C’est à ce moment qu’une flèche transperça le cou de Lawrence, il s’effondra à coté de moi, puis mourut sur le seuil de cette satanée porte, sans que je ne puise rien faire pour lui.

Je ressentis pour la seconde fois une terrible souffrance dans mon cœur, mais cette fois la rage s’immisça en moi, je me souvenu du jour où ces maudits étrangers avaient mit le feu à la bâtisse d’Oshi, et à la vue du sang de Lawrence se mêlent à la terre, mes pouvoirs de Kitsune se révélèrent. J’étais le feu, la rage brulante d’une puissance destructrice à l’état brute. Je dévastais l’église et les prêtres qui l’habitaient, ne laissant que des cendres sur mon passage.



Spoiler:




Lorsque je revins à moi, il n’y avait plus que des ruines à l’endroit où se trouvais précédemment le monastère.
Je fus effrayée par tant de puissance, dégoutée de voir un autre sang que le mien sur mes mains souillée. Le goût et l’odeur de leurs chairs brulée c’était imprégnée en moi.

Plus jamais je n’utiliserais ce pouvoir, trop grand, pour nuire aux gens.
Etant seule, et n’aillant nulle part où aller, je pris le chemin de l’ancien champ de blé que je gardais pour mon ami, j’y enterai le corps du chevalier, puis je m’assis là, à l’endroit où j’avais rencontré ce garçon,  pour attendre, attendre que quelqu’un d’autre passe, et me sauve lui aussi.





Votre arrivée a Yokai Gakkou




Plusieurs années après le drame du Monastère, d’étranges légendes se mirent à fleurir à propos d’un champ de blé maudit.
Les gens des villages avoisinant le champ l’avais vu germer en quelque jours. Un champ magnifique, sans personne pour s’en occuper.

Depuis ce jour, le champ était devenu le théâtre que monstrueuse agression, quiconque s’approchant un peu trop prés des blés était  fatalement attaqué par son gardien, une créature petite mais rapide, capable de terrasser les plus valeureux mercenaire de toute la région. Plus personnes n’osaient s’en approcher depuis la mort de l’ancien chef du village le plus proche, qui un soir de colère, avait provoqué l’esprit gardien.

Pourtant un beau jour un vieillard a l’allure lugubre s’y approcha d’un pas calme et assuré, il salua le champ puis y entra jusqu’à son centre.

Soudain une jeune femme entièrement dénuder lui sauta au cou et y plantas profondément ses crocs.



Spoiler:




‘’Ha ha ha, tu n’as pas à avoir peur de moi Holo… Je suis juste venu discuter avec toi. ‘’
L’attaque de Holo laissa complètement indifférent le vielle homme. La où d’autres s’étaient déjà effondrer, lui restait la, aussi peu déranger que si cela avait été une piqûre de moustique.

Ce vieillard était en faite le directeur d’une école construite spécialement pour les yokai. Il avait besoin d’une personne qui sache entretenir des champs. Il avait fait tout la route depuis l’école pour inviter Holo à les rejoindre.
Il s’entretenu un long moment avec la jeune renarde, elle était réticente au début, elle se laissa  tout compte fait séduire à l’idée de quitter ce lieu, pour tourner la page sur son passé.

Elle ramassa ses affaires, puis ils disparurent tout les deux en direction de l’ile au ce trouvait le Yokai Gakkou.



Spoiler:

Partenaire:

Soi Fon

La renarde rusée Soi_fo11

Race : Neko

Age : 20 ans

Sexe : Femelle

Taille : 1m60

Poids : Sa ne vous regarde pas !

Armes :

Un Wakizashi dans le dos et Houmonka sur sa main droite.

Histoire :

Alors qu’elle était une jeune Neko, Soi Fon embarqua dans l’un des nombreux navires marchant qui longe les cotes du Japon, le navire dans le quelle elle était c’est échouer sur l’île d’Oki. Holo la trouva à moitié morte dans le reste de l’épave. Après son rétablissement Soi Fon jura fidélité à Holo pour honorée sa dette envers elle. Depuis, elles sont devenue de grande amies. Soi fon voit Holo comme un modèle.

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DERRIÈRE LE PC
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Prénom [Facultatif]

Revan

Âge [Facultatif]

20 ans

Comment avez-vous connu le forum ?

Grâce au fondateur

Double compte ? Oui [_] Non [x]

Combien de temps peux tu consacrer au Forum ? [2 /10]


Dernière édition par Holo Hirasawa le Mer 7 Aoû - 17:50, édité 4 fois
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Oshino Ryu
Yondaime Kouchou
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Messages : 86
Date d'inscription : 02/03/2012
Age : 34
Localisation : Sur l'île

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MessageSujet: Re: La renarde rusée   La renarde rusée EmptyMer 12 Sep - 19:49

Tout d'abords, belle présentation.
J'ai remarqué quelques fautes dans ton texte qu'il faudrait corriger.
Sinon, dans l'ensemble c'est bon.
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La renarde rusée
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